Le président français Emmanuel Macron a déclaré le dimanche 24 septembre dernier, que la France mettait fin à sa coopération militaire avec le Niger et retirerait ses milles 500 soldats du pays avant la fin de l’année.
La décision de la junte de forcer Paris à prendre est comme un coup dur pour les opérations françaises contre le terrorisme dans la région du Sahel, mais Macron affirme que la France ne laissera pas les putschistes les prendre en otage.
Macron a déclaré qu’il considérait toujours le président démocratiquement élu Mohammed Bazoum, qui, selon lui, est retenu prisonnier par la junte, comme le dirigeant légitime du pays et l’a informé de sa décision.
Ruthza Louis
VOA créole, MapounewsHaiti