Me.Arnel Remy, le président de cette structure, a déclaré que la raison pour laquelle ils s’opposent au rapport et à l’approche d’une force multinationale pour entrer dans le pays, c’est parce que le Kenya, qui est censé être le chef de cette mission, ne sait pas n’importe quel moyen de pénétrer dans la zone des bandits. Cela signifie, selon Me.Remy, même si la force arrive, les gangs existeront toujours. Me.Arnel Remy estime que la seule police nationale qui peut résoudre le problème de l’insécurité et des enlèvements s’ils font des vérifications à l’intérieur de l’institution, enlèvent les mauvaises graines et investissent l’argent qui serait dépensé dans la force multinationale, dans la PNH.
Me.Arnel Remy fait également allusion à plusieurs forces étrangères qui débarquent souvent en Haïti, mais n’apportent jamais de solutions durables à l’insécurité et aux enlèvements.
Pendant ce temps, le gouvernement haïtien attend, le 19 août 2023, soit dans 12 jours, une mission d’évaluation venant du Kenya dans le cadre du processus pour qu’une force multinationale vienne sur le sol haïtien pour aider à combattre le banditisme en Haïti.