Selon le Ministère de la Justice et le Conseil Supérieur du pouvoir judiciaire, cette démarche s’inscrit dans l’engagement de l’État de réduire la surpopulation carcérale et est soutenue par Mme Marie Rosy Auguste Ducèna du Réseau National de Défense des Droits de l’Homme (RNDDH). En revanche, M. Mario Joseph, président du Bureau des Avocats Internationaux (BAI), craint que des criminels ou des trafiquants de drogue ne soient pas libérés dans le processus.
De plus, le Ministère de la Justice et le Conseil Supérieur du pouvoir judiciaire comptent sur la coopération de la magistrature, du personnel judiciaire et d’autres acteurs du système judiciaire pour que ce programme bénéficie au système judiciaire. Cet article a été écrit par Renan Toussaint, un journaliste multimédia.