De nombreux pays saluent la décision du Kenya de diriger une force multinationale en Haïti, le Canada et les États-Unis en font partie. Le pays des Bahamas, pour sa part, s’est déjà engagé à envoyer 150 personnes pour soutenir cet effort, si les Nations unies autorisent la force.
Certains dirigeants de l’organisation qui ont réagi au micro et devant la caméra de MapounewsHaïti sur ce dossier, ont plaidé en faveur d’un accompagnement pour que la police nationale arrive à éradiquer les gangs armés, car ils n’ont pas besoin de forces militaires étrangères dans le pays, selon ce qu’ils disent, ce n’est pas la première force multinationale qui sera souillée le sol national , mais les gangs sont toujours restés et demeurés puissants.
Cependant, il y en a d’autres qui croient que depuis que la force militaire est entrée dans le pays, la population va souffler un peu de la crise socio-politique et économique qui ravage le pays, même si c’est pour un moment selon ce qu’ils disent.
Pendant tout ce temps, bien que les États-Unis et le Canada saluent les mesures prises par le Kenya, mais jusqu’à présent, ils n’ont jamais dit s’ils enverraient des soldats pour soutenir cet effort.